Les attaques terroristes sous faux pavillon prennent des mois voire des années à être planifier et coordonner, et donc ces complots terroristes présentent certaines caractéristiques au fil du temps qui peuvent finalement indiquer ce qui est prévu secrètement. La guerre hispano-américaine, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre du Vietnam, et les guerres en Afghanistan et en Irak ont toutes commencées par des actes de terrorisme sous faux pavillon. Rappelez-vous, Il est beaucoup plus facile d'arréter un false flag que d'arrêter une guerre, il est donc impératif que ces attaques terroristes parrainées par l'Etat soient arrêtées avant qu'elles ne commencent.

1. Ecoutez votre instinct. Si quelque chose vous semble louche, ça l'est probablement.
2. Enregistrez toutes les informations parlant d'un sujet donné nouvelles, évènements,propagande, législation, exercices, manoeuvres, etc), aussi insignifiant que cela puisse paraître sur le coup.
3. Organisez chronologiquement les-dites informations dans un document ou sur un site (Exemple: Titre, date, source).
4. Tirez des conclusions originales basées sur votre recherche cumulative. Une fois que toutes les informations sont exposées devant vous d'une manière cohérente, comprendre le cheminement est le plus facile.
5. Ecrivez un article, faites un site web ou tournez une vidéo sur vos résultats et partagez vos découvertes avec le monde. Actuellement, Google et WordPress vous offrent des sites web gratuits et Yahoo offre des noms de domaine bon marché.

Enfin, le terrorisme spectaculaire exige une audience et il n'y a pas meilleur endroit pour cela que la télévision en direct. Pour que la terreur ait l'effet escompté, les images de morts et de personnes agonisantes doivent être incrustées dans les esprits de la population tandis que des milliards de gens regardent, impuissants. Par conséquent, cherchez à l'échelle nationale et internationale des événements télévisés tels que les évènements sportifs (les Jeux olympiques, la Coupe du Monde, le Super Bowl, la finale NBA, les World Series, etc), les différentes élections politiques et couronnements, les jours fériés nationaux et internationaux (Noël, Nouvel An), ou tout autre évènement, un jour où des centaines de millions de personnes sont présentes ou regarderont la télévision en direct.

1. Information & Propagande
Afin de préparer psychologiquement le public et l'armée pour une attaque terroriste à venir, la propagande, présente sous la forme de nouvelles, est filtrée à travers les médias à la fois traditionnels et alternatifs au cour des années, des mois et des semaines qui précèdent un évènement sous fausse bannière. Ces reportages d'actualités particuliers et cette propagande peuvent être des avertissements et des signes d'évènements terroristes futurs à  venir.

2. Livres blancs et documents
Les documents académiques, délivrés par les universités, les think tanks et les ONG, prédisent qui, quoi, quand et où de futures attaques terroristes sous faux pavillon auront lieu. Les complots terroristes sont prévus avec les dernières données de recherche disponibles et généralement indiquent la direction que la guerre de la terreur prendra.

3. Mémos internes
Les organismes fédéraux, tels que le FBI et le DHS émettent des mémos reflétant les livres blancs, afin de préparer le gouvernement, l'armée et la police pour des changements dans la politique et les procédures concernant une attaque terroriste.

4. Complots et boucs émissaires
Choyé par les agences fédérales et les services de renseignement, les boucs émissaires sont arrêtés pour faux complots terroristes dans les semaines et les mois qui précèdent une attaque terroriste sous fausse bannière. L'arrestation de ces boucs émissaires permet à la fois l'application de la loi, au public l'impression que la menace terroriste est réelle et permet des essais de simulations médiatiques une fois que l'attaque terroriste a eu lieu.

5. Les entreprises de sécurité privées
Afin d'éliminer les menaces, maintenir le contrôle, et régler les derniers détails, les agents de sécurité privés sont embauchés pour surveiller et contrôler des endroits clés entourant les évènements sous fausse bannière. Naturellement, Blackwater est toujours suspect.

6. Exercices militaires & Manoeuvres
Exécuté juste avant ou au cours d'une attaque terroriste, les exercices et les manoeuvres se produisent là ou a proximité de l'emplacement cible et impliquent généralement l'armée, des entreprises privées, et/ou fédérales, étatiques, et les autorités locales. Les exercices et les manoeuvres fournissent une couverture pour l'attaque en détournant la police locale de la scène en les convainquant que l'attaque est juste un exercice, ce qui entraîne généralement une résignation. Les Exercices militaires & les Manoeuvres sont souvent répétés pour l'aptitude et classés confidentiels par la suite. Le 10 et le 11 Septembre 2001, au moins 46 exercices et manoeuvres ont été exécutés simultanément.

7. Un script terrifiant
Afin de coordonner une réponse plus fluide et plus uniforme à une attaque terroriste, un script est délivré aux agences gouvernementales puissantes et aux médias à  l'avance. Pour le 9/11, les médias sont allés trop loin lorsque CNN et la BBC ont rapporté que le WTC n° 7 (la 3e tour) s'était effondrée 23 minutes avant qu'elle ne le fasse.

8. Rapports contradictoires
Comme dans la plupart des attaques terroristes, il existe les premiers reportages clés de responsables et de témoins oculaires sur les lieux de l'attaque terroriste qui généralement racontent une histoire totalement différente de celle qui est finalement inscrite dans les livres d'histoire. Trop souvent, ces rapports et ces témoins disparaissent et plus personne n'entend parler d'eux.

9. Suspect identifié dans les 24 heures
Pour contrôler la rage suscitée par l'attaque terroriste sous fausse bannière, les auteurs de l'acte terroriste "doivent nourrir" la population d'un bouc émissaire terroristes dans les 24 heures. Le cas d'un meurtre prend en moyenne des mois pour être résolu, mais un acte terroriste présumé aléatoire est généralement résolu dans les 24 premières heures.

10. Cui bono-Qui en bénéficie
La règle générale d'une attaque terroriste sous fausse bannière spécifie que la formation/l'organisation/le mouvement à qui profite le plus un acte de terreur est la/le plus probable à avoir planifié et exécuté l'attentat. Les auteurs d'attaques terroristes sous faux drapeau attaquent généralement leur propre armée, leurs ambassades, leurs agences, leurs bâtiments, leurs fonctionnaires et leurs manifestations dans le but de se faire passer pour des victimes ainsi que de contrôler toute enquête publique sur l'attentat.

En lisant certains des commentaires de lecteurs sur de nombreux médias, il semblerait que pas mal de gens éprouvent une certaine confusion avec l’expression « attentat sous fausse-bannière » (« false-flag » en anglais). Il est aussi très possible que le public soit peu à peu victime d’une manipulation sémantique de la part des « têtes pensantes » de l’oligarchie, qui aime particulièrement dénaturer un mot ou une expression afin d’en faire un non-sens ou un mot perdant sa signification réelle par amalgame et ce afin de discréditer la signification réelle. Il semblerait que ce soit le cas en ce moment pour l’expression « attentat sous fausse-bannière »… Il se pourrait qu’une confusion provoquée soit générée pour que le public croit qu’un attentat false flag, fausse-bannière, soit un « faux attentat » ou quelque chose de simulé. Rien de plus faux: Un attentat fausse-bannière se déroule, fait (le plus souvent) des victimes, mais si l’histoire officielle clâme toujours aux « loups solitaires radicalisés » (politiquement, religieusement,…) ou aux organisations terroristes soi-disant indépendantes, il s’avère qu’en fait les perpétrateurs de l’attentat sont soit piégés à un endroit où les commanditaires les voulaient à une heure dite, ou alors s’ils en sont les perpétrateurs, ils s’avèrent manipulés par des services dont ils ignorent ou non la présence.

Un attentat fausse-bannière est réel. Le narratif officiel est faux, puisque c’est un ou plusieurs gouvernement qui le commandite en utilisant directement ou indirectement ses agents. Un des plus pervers de tous: La gare de Bologne en 1983, qui a fait plus de 200 morts et des centaines de blessés, blâmé par les autorités sur les groupes extrémistes d’extrême gauche pour discréditer le PCI politiquement très puissant, mais en fait perpétré par le réseau Gladio de l’OTAN et ses barbouzes para-militaire en liaison avec la loge P2.