Les Temps Changent, un docu-fiction basé sur les prévisions du GIEC...
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Golden Awaken Fondateur
Messages : 1318 Avez vous apprécié ce post? : 206 Date d'inscription : 06/07/2013 Age : 55 Localisation : Planète Terre (pour le moment)
Sujet: Les Temps Changent, un docu-fiction basé sur les prévisions du GIEC... Dim 13 Oct - 18:25
Les Temps Changent, un docu-fiction basé sur les prévisions du GIEC...
En 2075, notre planète sera bien différente de ce que nous connaissons aujourd’hui. Ce documentaire s’appuie sur les conclusions du Giec, le Groupe international d’experts sur le changement climatique, Prix Nobel de la paix en 2007.
Au travers du destin de Julia dans un vignoble bordelais, Idrid et Faouzi au Mali, Lotte à Hambourg, Niels, son mari, et de Grace, au Canada, « 2075 : les temps changent » traite non seulement des répercussions écologiques, mais aussi géopolitiques et économiques du réchauffement climatique… "Les temps changent" est un docu-drama ultra-réaliste, basé sur un scénario médian, traduisez ni trop pessimiste ni trop optimiste du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Le documentaire reprend les évènements majeurs que celui-ci prévoit si la température globale de la planète augmente de 3 degrés Celcius au cours du XXIème siècle. (lire cet article)
Le niveau des océans a augmenté, ravageant les cultures, inondant nombreux pays, régions et îles. Les réfugiés climatiques, comme les qualifie le docu-fiction, se comptent par millions. Le continent africain est devenu un immense désert. Le soleil brûle tout. Plus rien ne pousse. La population, dont Idrid et Faouzi constituent un exemple, est poussée à l’exode. Le Nord se trouve alors confronté à l’arrivée massive de millions de réfugiés venus du monde entier. Des millions d’apatrides qui se rassemblent dans des camps où les candidats à l’immigration sont choisis selon des critères drastiques : état de santé conforme aux normes européennes, jeunesse, force physique et caractère docile…
Les grandes villes du monde ont interdit l’automobile; les grands axes sont occupés par des lignes de tramways et recouverts de bâches blanches pour limiter les effets dévastateurs d’un ensoleillement quasi-permanent. 80% de la population mondiale vit désormais dans les villes. Dans le bordelais, l’augmentation de la température, le manque de pluie et les invasions de crickets mettent en péril les vignobles qui se transforment progressivement en orangeraies… Et même les orangeraies n’ont plus assez d’eau. Ailleurs, c’est la pluie qui fait des ravages, menaçant les digues, inondant des villes.
Dans le grand Nord, 100 000 km de banquise disparaissent chaque année. La fonte des neiges a ouvert une nouvelle route maritime entre le pacifique et l’atlantique. La pollution, les guerres, les changements climatiques, la déforestation ont eu raison de 40 % des espèces animales. L’eau, denrée rare, est devenue l’objet de guerres.
2075 : Les temps changent
Distribution : Nancy Tate, Tantoo Cardinal, Vernon Dobtcheff, David Lahaye, Charles Mnene, Denver Isaac et Carrie Colak…
Docu-Fiction – 2008 – Réalisation : Marion Milne – Jean-Christophe de Revière – Scénario : Philippe Dusseau – Idée originale : Pascal Manoukian – Conseiller scientifique : Stéphane Hallegate – Co-production : Capa Drama – France 2 – Wizzfilms Inc – Voice Pictures Inc. ..
~ 2075 Sur Terre ; Les Temps Changent (Documentaire Science)(Chaîne YT des Enfants de la Terre) ~
Source de l'article : 2075: Les temps changent
Dernière édition par Golden Awaken le Lun 19 Oct - 15:59, édité 3 fois
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Sujet: Le changement climatique est dominé par le cycle de l’eau et non pas par le CO2 Lun 14 Oct - 11:56
Le changement climatique est dominé par le cycle de l’eau et non pas par le CO2
Les climatologues sont obsédés par le dioxide de carbone. Le dernier rapport d’évaluation du GIEC affirme que le “forçage radiant” du CO2 émis par l’humain est la force majeure derrière le changement climatique.
Le gaz carbonique est blâmé pour tout: pour les sécheresses, les inondations, les ouragans, la disparition des ours polaires et l’acidification des océans. Mais le climat terrestre est dominé par le cycle de l’eau et non pas par le CO2. le cycle de l’eau comprend l’eau salée des océans, l’eau douce des rivières et des lacs, les calottes glaciaires et les glaciers. Cela inclut également le flot de l’eau entre les océans, l’atmosphère et la terre sous la forme d’évaporation, de précipitations, de tempêtes et des conditions météorologiques. Le cycle de l’eau contient une grande énergie qui façonne le climat de la Terre, les tendances des températures et les caractéristiques de surface. Les effets de l’eau sont bien plus importants que les effets du CO2 dont on a tant peur.
La lumière solaire rayonne directement sur les tropiques, où beaucoup d’énergie est absorbée et indirectement dans les régions polaires où moins d’énergie est absorbée. La météo sur terre est conduite par la redistribution de la chaleur des tropiques vers les régions polaires. L’évaporation créée des systèmes massifs de tempêtes tropicales, qui véhiculent cette énergie vers le nord, vers des latitudes plus fraîches. Les vents d’altitude avec les fronts de dépressions, les cyclones et les courants océaniques du cycle d’eau de la Terre, redistribuent l’énergie thermique des tropiques vers les régions polaires.
L’Océan Pacifique est la plus grosse caracteristique de la planète Terre, couvrant un tiers du globe et suffisamment vaste pour contenir toutes les masses terrestres restantes. Les Océans ont 250 fois la masse totale de l’atmosphère et peuvent contenir plus de 1000 fois l’énergie thermique. Les océans ont un effet très puissant, même si mal compris, sur le climat de notre planète. Entre 75 et 90% de l’effet de serre de la terre est causé par la vapeur d’eau et les nuages.
Et pourtant, le GIEC et les modélistes modernes du climat nous proposent le fait que c'est la “puce” qui remue le “chien”. La puce étant bien sûr le CO2 et le chien le cycle de l’eau. La théorie du réchauffement anthropique de la planète assume un feedback positif de la vapeur d’eau, forcé par les émissions humaines de gaz à effet de serre. L’argument est alors que l’air plus chaud peut retenir plus d’humidité, la vapeur d’eau atmosphérique va augmenter alors que la Terre se réchauffe. Comme la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre, plus de vapeur d’eau est présumé ajouter un réchauffement à celui causé par le CO2. De fait, la théorie assume que le gaz carbonique contrôle le cycle de l’eau pourtant bien plus puissant.
Depuis les 16 dernières années, la température de la surface de la terre ne s’est pas réchauffée et ce malgré l’augmentation du CO2 atmosphérique… Tous les modèles climatiques avaient prévu une augmentation rapide de la température globale et ce en contradiction avec les données empiriquement collectées. Les modèles d’aujourd’hui sont souvent incapables de prédire les conditions de météo sur une simple saison, loin de là de prédire la tendance climatique à long et très long terme.
~ Ce réchauffement qui n’en finit pas de nous les geler ~
Exemple, la prédiction des ouragans en Atlantique. En Mai, la NOAA a publié sa prévision 2013, disant que cette saison serait “très active”. A ce moment, la NOAA avait prédit de 7 à 11 ouragans atlantiques (tempêtes ayant des vents à 120km/h et plus). En Août, l’administration révisait sa prévision à entre 6 et 9 ouragans. Nous sommes en Octobre et seulement 2 tempêtes ayant la force d’ouragans ont eu lieu. Les modèles informatiques sont incapables de prédire de manière précise juste une saison de cycle de l’eau dans juste une région du globe. Le GIEC et tous ceux qui soutiennent la théorie du réchauffement climatique anthropique sont bloqués par 16 ans de stagnation des températures de surface. Le professeur Kevin Trenberth fait l’hypothèse que l’énergie thermique du forçage des gaz à effet de serre est partie dans les profondeurs océaniques. Si c’est le cas, alors 1-0 pour la force des océans sur le changement climatique !
D’autres ont noté la prévalence des conditions de la Niña dans l’océan pacifique depuis 1998. Pendant la période s’étalant de 1975 à 1998. Lorsque les températures mondiales s’élevaient, le Pacifique expérimentait les effets plus chauds du phénomène d’El Nino que ceux plus frais de La Nina. Mais la Pacific Decadal Oscillation (PDO), un cycle puissant de température dans le pacifique nord, s’est déplacé vers un cycle plus frais il y a environ 10 ans. Avec le PDO en phase plus fraîche, nous constatons mieux les conditions de La Nina. Peut-être que les Ninas sont la raison pour la stagnation des températures mondiales. Si c’est le cas, n’est-ce pas une preuve que les effets de l’océan et du cycle de l’eau sont plus forts que les effets du CO2 ?
L’évidence géologique des derniers âges glaciaires montre que l’augmentation du CO2 atmosphérique SUIT, plutôt que ne précède, l’augmentation des températures globales. Alors que les océans se réchauffent, ils diffusent plus de CO2 (jusque là en solution dans l’eau) dans l’atmosphère. Le changement climatique est dominé par les changements du cycle de l’eau, piloté par les forces solaires et gravitationnelles et le gaz carbonique apparaît ne jouer qu’un rôle insignifiant.
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Sources originales de l'article : Climate change is dominated by the water cycle, not carbon dioxide Washington Times: Climate due to water cycle not carbon dioxide
Golden Awaken Fondateur
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Sujet: La vision catastrophique du GIEC revue et corrigée par un rapport indépendant... Mer 7 Mai - 11:07
La vision catastrophique du GIEC revue et corrigée par un rapport indépendant...
Il y a littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par des pairs qui ne soutiennent pas la thèse d’une vision catastrophique, ou même problématique, de l’enrichissement de l’atmosphère en CO2.
La publication récente du rapport de l’ONU sur le changement climatique a électrisé politiciens et activistes environnementalistes, qui ont émis une nouvelle tournée d’appels à réduire les émissions de gaz à effets de serre. Certaines des déclarations parmi les plus enflammées dans ce sens sont venues de la sénatrice démocrate californienne Barbara Boxer, qui en a appelé au congrès à « se réveiller et tout faire en son pouvoir pour réduire la dangereuse pollution au carbone », tandis que le ministre des affaires étrangères John Kerry a exprimé des sentiments similaires dans un communiqué du State Department, affirmant que, « sauf si nous agissons rapidement et fortement, la science nous dit que le climat et nos modes de vies sont littéralement en péril ». Vraiment ? Le climat de la Terre est-il si fragile que lui-même et notre mode de vie seraient en péril à cause de la montée des émissions de dioxyde de carbone (CO2) ?
~ Barack Obama to make climate change case to weather forecasters (Suzanne Goldenberg, The Guardian) ~
En un mot, non ! L’impact humain sur le climat est petit ; et tout réchauffement qui pourrait se produire du fait des émissions humaines de CO2 aura probablement peu d’effets, que ce soit sur le climat ou la biosphère de la Terre, d’après le rapport récemment publié « Climate Change Reconsidered II: Biological Impacts » qui a été produit par le Panel Non-gouvernemental sur le Changement Climatique (NIPCC), et qui contraste avec celui du GIEC. Cette autre évaluation passe en revue littéralement des milliers d’articles de publications scientifiques visées par des pairs, qui ne soutiennent pas, et même souvent contredisent, les conclusions du rapport de l’ONU. Que le sujet soit les effets du réchauffement et de l’augmentation du taux de CO2 sur les plantes, les animaux ou les humains, le rapport de l’ONU met invariablement en avant les études et les modèles qui dépeignent le réchauffement planétaire de la couleur la plus sombre possible, ignorant ou négligeant ceux qui ne le font pas.
Pour emprunter une phrase révélatrice de leur rapport, l’ONU ne voit rien d’autre que « la mort, des blessures et des vies perturbées », où qu’elle porte son regard, comme le font la sénatrice Barbara Boxer, John Kerry, et d’autres. Le Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques démontre que la vie sur Terre ne souffre pas de la hausse des températures et des niveaux de CO2 atmosphérique. Citant des masses de données du monde réel, il offre des preuves scientifiques solides que la plupart des plantes profitent au fait d’être exposées à la fois à des températures plus hautes et à de plus fortes concentrations de CO2. En fait, il démontre que la biosphère terrestre est en train de connaitre un grand verdissement, qui cause le recul des déserts et l’expansion des forêts, ce qui agrandit et améliore l’habitat pour les animaux terrestres, la vie aquatique, et la santé humaine.
~ 10 arguments valides contre les dogmes (politiques) du GIEC… (Roy W. Spencer, Ph.D en Climatologie, ancien scientifique de la NASA) ~
Pourquoi ces découvertes de la recherche et cette perspective positive sont-elles absentes des rapports de l’ONU sur le climat ? Bien que l’ONU prétende n’être pas biaisée et avoir fondé ses évaluations sur la meilleure science disponible, ça n’est de toute évidence pas le cas. Et nous avons, en conséquence, beaucoup de chance que le rapport du NIPCC fournisse des preuves tangibles que le débat sur le réchauffement planétaire entrainé par le CO2 et l’acidification des océans reste non arrêté à de nombreux niveaux. Malheureusement, l’alarmisme climatique est devenu le modus operandi des rapports d’évaluation de l’ONU. Ce fait est triste, certainement, parce qu’en assemblant ces rapports, l’ONU a soit volontairement fermé l’œil sur des points de vues qui allaient contre les études qu’elle utilisait, soit n’a pas donné à ses auteurs la quantité de temps, d’énergie et de ressources nécessaires pour enquêter pleinement sur une question qui est profondément significative pour toute la vie sur Terre. Avec comme résultat que l’ONU a sérieusement exagéré de nombreuses conclusions terribles, distordu des faits pertinents, et omis ou ignoré des découvertes scientifiques clés. Et cependant, malgré ces échecs, divers politiciens, États, et institutions continuent de se rassembler autour des rapports de l’ONU sur le climat, et persistent à utiliser leur position comme justifications pour légiférer pour des réductions d’émissions de CO2, comme le montrent les remarques de la sénatrice Boxer et de John Kerry.
Ne citer que des études qui font la promotion du catastrophisme climatique comme base pour ces règlementations, tout en ignorant des études qui suggèrent juste le contraire, est tout simplement mauvais. Les citoyens de chaque nation méritent un examen bien plus approfondi de cette question par leurs États ; et ils devraient exiger une plus grande responsabilité de leurs officiels élus dans leurs tentatives de les fournir. Alors que plus de 3000 références scientifiques visées par des pairs citées dans « Le Changement Climatique Reconsidéré II, Impacts Biologiques » sont probablement plus que suffisantes pour établir un fait scientifique devant une cour de justice, elles ne sont pas suffisantes pour engager les vrais négationnistes du climat dans un débat. La montée du CO2 atmosphérique n’a pas, et n’aura pas, d’influence dangereuse sur le climat et la biosphère. Mais ne me croyez pas sur parole, téléchargez et lisez le rapport. Comparez-le avec celui de l’ONU. À vous de juger.
Dr. Craig D. Idso
~ Traduction réalisée par Contrepoints ~
Source Originale de l'article : Dueling climate reports – this one is worth sharing on your own blog
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Sujet: « Personne ne croit Washington concernant le réchauffement climatique » Lun 26 Mai - 10:44
« Personne ne croit Washington concernant le réchauffement climatique »
L’ « évaluation nationale sur le climat » publiée par l’administration Obama a fait flop auprès des Américains
~ No one trusts Washington on climate change (Christopher Caldwell, Financial Times) ~
Les 841 pages de l’évaluation nationale sur le climat publiées par le gouvernement américain il y a trois semaines ont été décrites comme « sérieuses », néanmoins les américains ne semblent pas convaincus. Le Financial Times, journal économique d’envergure internationale, et principal concurrent du Wall Street Journal, vient de publier un article (Voir ci-dessus) mettant en valeur l’insignifiance de l’impact de l’évaluation nationale sur le climat, défendue par Obama, sur l’opinion publique. Selon le journal : Les américains reçoivent ce genre d’alerte depuis des décennies. Aucune n’a réussi à réveiller le pays de son apparente indifférence. […] Les auteurs semblent avoir oublié que le temps n’est pas la même chose que le climat. L’ancien ambassadeur américain en Chine, Jon Huntsman, a écrit dernièrement qu’au cour d’un débat il s’est aperçu que « tous les candidats républicains ont gloussé en réponse à une question portant sur le changement climatique, comme si on leur avait demandé leur avis à propos de la petite souris cherchant les dents des enfants sous leurs oreillers. »
~ Des climatologues réchauffistes aux abois menacent le climatologue Bengtsson... (Dr. Roy Spencer via Le Blog de Résistance 71) ~
Le Wall Street Journal a résumé cette tendance comme suit : Obama's Climate Bomb. Il porte sur le devant de la scène des scénarios catastrophiques pour promouvoir sa personne. Superviser le climat terrestre, ou du moins avoir la prétention de croire que ce miracle soit possible, semble être le seul projet politique grandiose à la portée d’Obama. De ce fait il ne devrait pas être surprenant qu’après avoir réformé la santé et augmenté les prélèvements, la Maison Blanche se focalise de nouveau sur le péril encouru à cause du réchauffement climatique, même si au prix de continuer de jouer avec la création d’un effet de panique sans fondement scientifique. Mercredi, cette autorité a délivré son évaluation du climat national trimestriel, faisant 829 pages.
~ L’obscure vérité sur “l’effondrement de la calotte glaciaire antarctique”... (Paul Joseph Watson via Le Blog de Résistance 71) ~
Eric Worrall
~ Traduction de J-Louis pour Contrepoints ~
Source originale de l'article : FT: ‘No one trusts Washington on climate change’
Pour aller plus loin : Des arguments sceptiques qui ne tiennent pas la route (Roy W. Spencer, Ph. D. via Skyfall) Le GIEC et toute l’affaire est politique et non pas scientifique (David Rose via Le Blog de la Résistance 71) El Niño, le retour d'un monstre météo (Eric Holthaus) Climat : Comment les générations futures nous jugeront-elles ? (Dr Richard North via Contrepoints)
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